1° :calquer
le plan pour faire 2 flancs symétriques.
2° :Fixer les flancs et collez les baguettes dangles. Pour cela utiliser de la
colle blanche.
3° :Collez les croisillonages sur la
partie arrière du fuselage.
4° : Lavant du fuselage est doublé. Attention, les fibres sont verticales sur
cette couche.
5° : collez ensuite les renforts de train en contreplaqué mince.
6° : Collez la baguette de renfort du couple moteur à lépoxy.
7° : Collez les couples à lépoxy en utilisant une équerre.
8° : Collez à son tour le deuxième flanc , toujours en vérifiant
léquerrage.
9° : Pincez larrière du fuselage en incorporant les pièces trapézoïdales
supports de stab et de patin de queue .
10° :A nouveau de la dentelle : collez les croisillonages du dessous du
fuselage.
11° : Même motif même punition sur le dessus .Attention , les croisillons sont
croisés par rapport au dessous.
12°Collez les baguettes supports de train. Un serre-joint est utilisé pour bien plaquer
le couple.
13° :Le bloc du dessus du nez est poncé en forme. Il ne faut pas le coller sur le
fuselage, il sera fixé à laile.
14° :Coffrez le dessous du fuselage. Les fibres du bois sont perpendiculaires à
laxe du fuseau.
15° : La structure du stab est en baguettes carrées. Un assemblage finalement assez
rapide et sans histoires.
16° :Dérive et direction sont tirées dun planchette à évider. Collez
ensuite les baguettes.
17° : Le pied de dérive est renforcé par une baguette triangulaire. Utilisez une
équerre pour cet assemblage. 18° :Fixez bords de fuite et longerons inférieurs.
Collez les nervures dessus.
19° : Collez les longerons supérieurs et le bord dattaque. La fameuse
structure multilongerons prend forme.
20° : Découpez les fentes de passage des clés daile dans les nervures
demplanture.
21° :Collez à lépoxy les clés sur une des ailes. On voit les renforts en
baguette carrée entre les nervures.
22° :La deuxième aile est rapportée de la même façon.
23° :Il reste a compléter les baguettes et bords dattaque et de fuite.
24° : Les emplantures et la partie centrale sont coffrées dessus, dessous.
25° : Collez le bloc que vous avez préparé auparavant sur le fuselage.
26° :Collez le saumon et la nervure oblique quil faut sérieusement retailler.
Ponçage énergique ensuite.
27° :Les commandes de direction et de profondeur sont constituées de baguettes de
balsa 10x10 balsa et de kwick-links. Ces derniers sont coudés pour pénétrer dans la
baguette et fixée par du ruban adhésif.(pour ma part jai utilisé des
flèches carbone de tir à larc que javais en réserve).
28° :Les servos sont vissés sur des équerres en balsa 10x10 renforcés dune
semelle bois dur 5x10.(nous en somme là, je préfère une
platine en contreplaqué )
29° :Deux tourillons viennent fixer laile sur le couple moteur. une vis au
bord de fuite limmobilise(pour
ma part je ne met qun tourillon a lavant du bloc et deux boulons de 5 en nylon
pour fixation au bord de fuite).
29° :Sur notre pilote,
détail du mat et du passage des haubans en élastique mercerisé.
30° : Le train est fixé par des pattes en plastiques. Le capot est fixé sur des
supports en bois dur.
(jai fixé le train avec des pattes
alu et le capot sur des équerres alu relié au couple pare-feu)
Reste à faire entoilage de laile,
peinture du patin de queue et toute la motorisation
FINITIONS
Il est de tradition dentoiler les
« BARONS »transparents sur les parties en treillis. La mite-railleuse ..Non la
mitrailleuse thermoformée , le pilote et la foret de ficelle donne laspect final à
la bête. Attention un BARON sans pilote et sans mitrailleuse nest pas reconnu dans
les concours !!!!Un sctroumpf ou un Gaston Lagaffe sont autorisé, le serre- tête en
cuir nest pas de rigueur.
REGLAGES
Le centre de gravité est à
80 mm du bord dattaque.Les débattements seront de plus ou moins 15° à la
profondeur et de plus ou moins 25° à la direction.
BARON SEN VA EN
LAIR
Pas de roulette de direction sur le
BARON, alors, pour le taxiage, il vaut mieux poser lavion au seuil de piste.
A la mise des gaz, la direction est tout
de suite efficace. Sur piste en herbe un peu de profondeur à cabrer évitera de tondre la
pelouse. Sur bitume, le baron passe rapidement à léquilibre sur le train. Après
quelques mètres le voilà dans son élément .Si vous débutez, faites vous guider
par votre moniteur(je sais ,je rabâche
)Si vous savez déjà piloter, réduction à
mi-gaz dès le décollage, pour un vol réaliste, car le BARON est le roi du vol lent. Les
tours de piste basse altitude et les touch andgo sont un régal.
Certains se dispense dent de poser la
barre transversale du train, pour assouplir
ce dernier. Erreur grave car le BEARON devient Kangouroutesque, Schgboing, boing, il
nen fini plus de rebondir. Si vous voulez des beaux atterrissages sur le train,
queue tenue haute ,laisser cette barre. Bon
remise des gaz profondeur en arrière, le BARON dresse le nez, et la boucle passe très
serrée, pour sortir plus haut quelle navait commencée. Cest surtout
pour le moral, car il est sans doute possible denchaîner le touch derrière. Le
renversement est fabuleux grâce a sa dérive surdimensionnée. Prenez de laltitude,
essayez le décrochage. Vous verrez le BARRON senfoncer nez haut, sans plus. Pour
obtenir le décrochage réel ,il faut augmenter exagérément le débattement de la
profondeur. L a vrille par contre est
superbe, comme dans les livres. Larrêt est garanti dés que les manches retrouvent
le neutre. Pour les plus violents, le tonneau barriqué, voir déclenché est possible.
Partant de là, il ne reste plus qua accrocher des banderoles et à faire du combat.
Mais au fait, ne parlait -on pas davion de début ?
Et oui cest ça le BARON.Facile et
docile, mais tellement amusant que nul ne peut sempêcher de le remuer dès que la
prise en main est passée .Dou vient le miracle ???La légèreté, la
faible inertie, des empennages très largement dimensionnés, et le trait de génie de
C.CHAUZIT le jour ou il a conçu cet avion . |